David Mocq : Droit de réponse

Il existe trois droits de réponse, soumis à des réglementations distinctes adaptées aux supports qui les concernent. Le droit de réponse dans la presse, le droit de réponse audiovisuel et le droit de réponse sur internet. C'est sur ce dernier support qu'AVS va se faire l'écho.
Face aux nombreuses attaques diffamatoires ou injurieuses dont David Mocq fait actuellement l'objet, AVS a décidé de lui accorder une tribune pour qu'il puisse se défendre et apporter sa propre version des faits.


Professionnel de la voyance depuis plus de 26 ans, j’aspire depuis mes débuts à réaliser les meilleures consultations et cela, autant que faire se peut, pour le plus grand nombre et en tendant à rester le plus constant possible. La voyance étant un phénomène instable, je ne suis malheureusement (ou heureusement) pas infaillible, je n’ai jamais prétendu l’être. Souhaiter être « le meilleur » n’est qu’une chimère dès lors qu’il est question de voyance. De fait, je me dois essentiellement d’être dans les dispositions les plus favorables afin de proposer une prestation de valeur et de qualité. N’étant pas en mesure d’être parfait, les « leviers » sur lesquels il m’est véritablement possible d’agir relèvent de l’honnêteté et de l’éthique. Telle est la situation -réelle- de tous les voyants authentiques. Aucun praticien ne peut, en toute conscience, se dire « supérieur » à un autre, à moins… de méconnaître la vraie voyance. Le phénomène est si instable, qu’il est -presque- impossible d’exercer honnêtement à titre professionnel. Vous remarquerez la précision de la mention « presque »… En effet, cela reste possible, mais il convient d’observer une éthique, droiture et honnêteté irréprochable. Cela n’enlève en rien le fait que l’on ne « voit » pas constamment contrairement à ce que la plupart des personnes pensent et, en ce cas, il est impératif de se référer à un « code » éthique, celui-ci peut être collectif ou propre à chacun. De plus, la qualité des perceptions est inconstante, telle est la réalité du phénomène de voyance (la vraie)

Dans ces conditions, de toute évidence, un voyant authentique ne peut fondamentalement se revendiquer « le meilleur » En pratique, un voyant X sera plus efficace, qualitativement parlant, que son confrère Y à un instant T., alors que la qualité de la voyance serait susceptible de s’inverser à un autre moment, une autre heure ou le jour suivant. De plus, la qualité du « flux » d’informations peut elle-même faire l’objet de variations au cours d’une consultation. En outre, la valeur et la qualité du phénomène E.S.P. fluctue d’une personne à l’autre.

En conséquence, il est indiscutablement impossible d’établir un quelconque classement des meilleurs voyants, que ce soit en France ou ailleurs. Ce n’est absolument pas sérieux ! Classifier, tel un répertoire, reste évidemment envisageable à la condition d’exclure toute forme de notation, que ce soit sous forme d’étoiles, de couronnes, de casseroles, de pain d’épices, etc. Ceux qui évoquent la possibilité d’établir un classement qualitatif relevant du phénomène de voyance ne connaissent -de fait- rien à cette possibilité psychique,

L’unique -infime- possibilité serait éventuellement de connaître la fréquence et la qualité réelle des réussites de chaque praticien tout au long d’une carrière. Autant dire que cela n’est pas réalisable. Les seuls à vraiment connaître ce taux réel de réussite ne sont les voyants eux-mêmes, personne d’autre ! Echantillonner, dans le but de qualifier et « classer » des praticiens de la voyance n’est pas crédible de par le fait que la quantité de client(e)s qui témoigneraient ne serait jamais suffisamment représentative d’une part et d’autre part, les règles des sondages ne s’appliquent pas en pareille circonstance, car la voyance est un phénomène, vous l’avez compris, extrêmement fluctuant.

Ce liminaire est essentiel pour la juste compréhension des faits détaillés au cours de cet article. Cela permettra de connaître les raisons pour lesquelles j’ai refusé d’être mentionné dans un guide et la raison expliquant l’ajout -lié à cette « affaire »- de quelques paragraphes à un article déjà préalablement rédigé depuis très longtemps sur mon site Internet. En revanche, il vous appartient de deviner, de supposer voire de déduire intelligemment les motivations de ceux qui se sont ensuite acharnés à délibérément salir ma réputation, me nuire, me diffamer et me dénigrer sans cesse sur Internet.

Au commencement

En date du 10 février 2016, une dénommée Marla m’expédie un email en se présentant comme « rédactrice » et « reporter » pour un magazine et un guide des meilleurs voyants, médiums, astrologues et tarologues de France dont la publication est prévue trois semaines plus tard. Elle me propose de m’interviewer et de lui fournir deux photographies accompagnées d’un questionnaire à renseigner. Suite à un bref échange de mails, je lui signifie clairement ma volonté de ne pas figurer dans ce guide et lui précise que je ne l’autorise pas à me citer. L’idée d’une classification m’exacerbait. De plus, l’approche de la procédure de classement (des votes) m’a semblé peu sérieuse. En effet, comment vérifier le contenu, l’authenticité et le nombre de ces votes ?… Cela est impossible, d’autant que les contenus numériques sont manipulables. En outre, un praticien peut, s’il en a envie, demander à ses ami(e)s ou à sa famille d’envoyer de nombreux « votes » ou « témoignages » totalement fictifs. Un praticien peut également utiliser de nombreuses adresses emails différentes afin d’expédier de gratifiants témoignages. En un mot, il n’y avait (c’est toujours le cas à ce jour) strictement aucune procédure crédible de vérification. A cela, ajoutons, les prérogatives exposées dans le liminaire… Face à un tel manque de sérieux et de crédibilité, mon évidente réponse faisait sens.

Depuis de nombreuses années, je rédige sur mon site web ( https://www.davidmocq.com ) des articles d’informations traitant de la voyance ( la vraie) Des textes relatifs aux meilleurs voyants et aux guides de voyance existaient déjà au moment des faits. Dans ce contexte, l’idée de rédiger quelques paragraphes supplémentaires m’a semblé intéressante afin d’appuyer mes dires, mes pensées, aux fins d’alimenter la réflexion des lecteurs sur un tel sujet. Je n’étais absolument pas animé d’une quelconque animosité. Mes écrits ne diffament pas, ne sont pas rédigés pour nuire à qui que ce soit. Il s’agit de raisonnements de fond visant à alimenter des réflexions et à informer. Je ne m’intéresse qu’à une chose : la véritable voyance, telle qu’elle est. Ma position est claire : je ne suis pas important, je ne cherche pas à me mettre en avant. Seule la voyance mérite mon attention à mes yeux. Telle une jolie femme dont je serais éperdument amoureux, j’écris pour elle, à son sujet. Elle est celle devant laquelle je m’efface. Les causes que l’on défend sont bien plus importantes que notre « petite personne »…

En réponse, les conséquences

Première surprise : la découverte -dans la foulée- de la rédaction d’un « article » diffamatoire me mettant en cause ( de manière extrêmement grave ) dans leur magazine auto édité et diffusé sur le web via des plateformes de ventes ( Amazon, Lulu, Google Books, etc. ), sans oublier un titrage en couverture tout aussi ignoble ! L’on ne peut mieux faire lorsqu’il s’agit de nuire délibérément…

Seconde surprise : de faux avis négatifs me concernant sont mystérieusement apparus sur Internet. Ces avis reprenaient des extraits de l’article de la pseudo revue et des liens vers celle-ci étaient mentionnés afin de permettre une lecture entière et me porter ainsi un préjudice... Une page « dédiée » fut élaborée spécialement « pour mon cas » et apparemment, un soin particulier semblait avoir été appliqué afin d’apposer mon nom « David Mocq » un peu partout (c’était d’ailleurs le titre de la page !)

Au début du mois de juin, j’ai mandaté Maître Murielle Cahen, avocate au barreau de Paris, afin de sommer une dénommée Alice de faire face à ses responsabilités en modérant d’irresponsables commentaires publiés sur son blog. Dans ce contexte, bien que je ne sois pas un membre adhérant, je me suis rapproché de l’INAD. L’Institut National des Arts Divinatoires pris ma défense, comme il le fait, depuis sa création, pour des milliers des consommateurs et de professionnels qui font appel à ses services, ou à son département juridique. A la suite de son intervention amiable (copie en ma possession), curieusement et contre toute attente, l’institut et son président furent également pris à partie par la mystérieuse association, affirmant bénéficier de la reconnaissance de l’Etat de New York ( rien que cela !)

Nul n’est besoin de préciser que ces invectives ordurières, la discrimination, la diffamation, cette incitation à la haine, adressées par ce ''mystérieux organisme'' de New York à 113 praticiens relevaient d'une irresponsabilité totale. Il s’agissait d’accusations graves, malhonnêtes et scandaleuses usant d’un procédé similaire à celui dont je fus moi-même victime. L’institut National des Arts Divinatoires (INAD) est reconnu par des centaines de milliers de clients consommateurs et par la plus grande majorité de la profession, sa notoriété est publique. L'INAD est connu pour son impartialité, son intégrité, son équité et son sens de la défense des client(e)s victimes d’escroqueries diverses à la voyance et aux arts divinatoires. L’INAD « défend » et « préserve » également les intérêts des professionnels qui font appel à ses services. La droiture et l’impartialité de l’INAD étant notoires, il m’a semblé naturel de solliciter son aide au début du mois de juin.

Le fait que l’INAD ait pris -sans conditions- ma défense PROUVE DE FAIT la noblesse de ses actions. Mon article initial a mis en évidence une certaine problématique. L’Institut National des Arts Divinatoires et son président m’ont suivi et défendu. A part l'INAD, je n'ai trouvé personne dans le milieu de la voyance pour me soutenir ! L’important dans cette affaire, ce n’est pas ma propre personne, car je m’efface devant la cause que je défends depuis toujours. L’important est de défendre -justement- une cause. Pour ma part, il s’agit d’expliquer ce qu’est véritablement la voyance (la vraie), ce qu’il est raisonnablement possible d’attendre d’une consultation de voyance. Cela, bien entendu, en tendant à ne pas trahir mes propos en pratique, en effectuant les meilleures prestations et cela le plus souvent possible. Pour ce qui est de l’INAD, la cause défendue est clairement étayée dans ses statuts. L’engagement de l’Institut National des Arts Divinatoires est total. Sa réaction face à la situation décrite dans cet article confirme -de fait- son absence de motivation pécuniaire envers les praticiens sérieux qu’il défend, d’autant plus s’ils sont membres. Son attitude confirme également son positionnement en tant qu’acteur essentiel et crédible de la défense des « consommateurs »

L’article que j'ai publié sur mon site web tend à mettre en évidence l’absurdité de la démarche d’un tel guide, et pourquoi j'ai refusé de voir apparaître mon nom...

Etat des lieux

A ce jour, « ces gens » de New York s’obstinent continuellement et délibérément à me nuire en publiant de faux avis sur Internet, partout où cela est possible, ils n’oublient rien ( forums de discussions, Questions-Réponses Yahoo, Yelp, Google, etc. ) Ils inondent Internet de faux avis négatifs à mon sujet en utilisant de multiples pseudonymes ( Rita, Liza, shlomo, Stevens, espo, etc. ) Pire, ils aggravent la situation et confirment leur volonté de nuisance : dorénavant, ils créent de faux sites ( blogs ) dans l’unique but de me dénigrer et diffamer !

Les praticiens sont maintenant parfaitement au fait de la situation, PERSONNE ne peut dire qu’il ne savait pas. Il convient d’arrêter de prendre leurs clients pour des gogos et de ne plus cautionner un classement mensonger en le mettant en avant.

Les clients, quant à eux, découvrent ce qu’il en est. Ils en concluront certaines évidences et apprécieront les actes et prises de position des praticiens de la voyance et des arts divinatoires.

J'ai -évidemment- déposé plainte, avec constitution de partie civile, contre les auteurs de ce pseudo guide et contre X. Le Doyen des Juges d’instruction, près le Tribunal de Grande Instance de Paris a été saisi. Ceux ayant participé ou relayé des informations diffamantes et visant à nuire seront cité à comparaître. Toutes les malveillances font l’objet de constats à mesure qu’elles apparaissent et les pièces seront versées au dossier (déjà bien épais).

Je tiens à remercier -du fond du coeur- les défenseurs du juste qui ont eu le courage, la droiture et l’intégrité nécessaires pour me soutenir -sans faille- depuis le début de cette affaire : l’INAD et la journaliste Buffy Brinogène. Je remercie également Gilbert Prudhon (AVS) et Claude Alexis de me permettre de m’exprimer.

David Mocq

Droit de reproduction accordé à AVS

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